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quartiernews

20 juin 2006

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mbah2

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1 juin 2006

bourw@ll

1 juin 2006

LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,VU la Loi Fondamentale ;DECRETE

LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,
VU la Loi Fondamentale ;
DECRETE
.
Article 1er : Sont nommés dans les fonctions ci-après, les hauts cadres dont les noms suivent :


1. MINISTRE D'ETAT AUX AFFAIRES PRESIDENTIELLES :
- Monsieur Fodé BANGOURA, précédemment Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République
2. MINISTRE D'ETAT, Ministre de l'Administration du Territoire et de la Décentralisation - Porte Parole du Gouvernement :
- ELHADJ Moussa SOLANO, Ancien Ministre
3. MINISTRE D'ETAT, Ministre des Affaires Etrangères :
- Monsieur Mamady CONDE , Ancien Ministre
4. MINISTRE D'ETAT, Ministre de l'Economie et des Finances :
- Monsieur Madikaba CAMARA
5. MINIISTRE D'ETAT, Ministre des Travaux Publics :
- Docteur BahnaSIDIBE
6. MINISTRE D'ETAT, Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique:
- Dr Ahmed Tidiane SOUARE, précédemment Ministre des Mines et de la Géologie
7. Ministre de la Coopération Internationale :
- Mme SIDIBE Fatoumata KABA, précédemment Ministre des Affaires Etrangères
8. Ministre de la Justice, Garde des Sceaux :
- Monsieur Alsény René GOMEZ, Ancien Ministre
9. Ministre de la Sécurité :
- Monsieur Ibrahima DIENG, précédemment Secrétaire Général dudit Ministère
10. Ministre du Contrôle Economique et Financier :
- Monsieur Kémo Charles ZOGBELEMOU, confirmé
11. Ministre de l'Information :
- Monsieur Aboubacar SYLLA. ancien conseiller à la Primature.
12. Ministre du Plan :
- Monsieur Eugène CAMARA, confirmé
13. Ministre de l'Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle
- Monsieur Kiridi BANGOURA, précédemment Ministre de l'Administration du Territoire et de la Décentralisation
14. .Ministre de l'Enseignement Pré-Universitaire et de l'Education Civique :
- Docteur Mamadou Bhoye BARRY, Député
15. Ministre de la Santé Publique :
- Professeur Amara CISSE, confirmé
16. Ministre des Mines et de la Géologie :
- Docteur Ousmane SYLLA, précédemment Recteur de l'Université de Conakry
17. Ministre de l'Agriculture, de l'Elevage et des Forêts :
- Monsieur Jean Paul SARR, confirmé
18. Ministre de la Pêche et de l'Aquaculture :
- Monsieur Ibrahima Sory TOURE, confirmé
19. Ministre de l'Industrie, du Commerce, des Petites et Moyennes Entreprises :
- Monsieur Kazaliou BALDE, précédemment Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire à Bruxelles
20. Ministre du Tourisme, de l'Hôtellerie et de l'Artisanat :
- Madame CAMARA Aminatou BARRY, précédemment Coordinatrice du Programme d'Appui aux Communautés Villageoises (P.A.C.V.)
21. Ministre des Transports :
- Monsieur Alpha Ibrahima KEIRA, précédemment Ministre de l'Emploi et de la Fonction Publique
22. Ministre de l'Urbanisme et de l'Habitat :
- Monsieur Kpoulomou Biaise Ouo FOROMOU, confirmé
23. Ministre des Postes et Télécommunications
- Monsieur Jean Claude SULTAN, confirmé
24. Ministre de l'Energie et de l'Hydraulique :
Monsieur Thierno Habib DIALLO, précédemment Ministre de la Coopération
25. Ministre de l'Environnement :
- Monsieur Mamoudou KEITA, ancien Gouverneur de la Région Administrative de Boké
26. Ministre de l'Emploi et de la Fonction Publique
- Madame Pierrette TOLNO, Députée
27. Ministre des Affaires Sociales, de la Promotion Féminine et de l'Enfance :
- Docteur Fatou Sikhé CAMARA. précédemment Directrice de la Santé de la Ville de Conakry
28. Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture :
- ELHADJ Fodé SOUMAH, confirmé
29. Secrétaire Général de la Ligue Islamique Nationale avec rang de Ministre :
- ELHADJ Ibrahima Sory FADIGA, Ancien Secrétaire Général de la Ligue Islamique Nationale
30. Secrétaire Général du Gouvernement :
- ELHADJ OuryBaïlo BAH, confirmé

Article 2 : Le présent Décret qui prend effet pour compter de la date de sa signature, sera enregistré et publié au Journal Officiel de la République.

Conakry, le 29 mai 2006
GENERAL LANSANA CONTE.

                MOUCTAR BOURWALL BAH

5 mai 2006

DES CAMIONS DE TRAVAILEMENT DE L'ARMEE ATTAQUE PAR LES POPULATIONS

Conakry : Des camions de ravitaillement de l’armée attaqués par les populations.
Posté le 05 May 2006 à 04:07:59 PDT
Cet article a été lu 831 fois

C’est digne d’un film de science fiction. Et pourtant, c’est une réalité. Des sources proches de l’état major général des forces armées, deux camions, bourrés de riz, transportant le ravitaillement de l’armée ont été attaqués dans les quartiers de Dabondy et de l’aviation ( devant la base aérienne principale de Conakry), par des populations affamées.

Hier jeudi 04 mai 2005, en pleine journée, un mouvement spontané, comme par le réflexe d’un affamé, le dernier geste d’un survivant, les pauvres populations de Dabondy et de l’aviation militaire se sont attaquées aux camions, emportant jusqu’au dernier sac de riz. Une situation qui éclaire mieux que les mots, sur l’extrême pauvreté, la misère noire, la tragédie… du peuple de Guinée. Quel dommage ! En guise de rappel, en 2005, de nombreuses attaques de camions avaient été perpétrées dans les toutes les communes de la capitale Conakry. Ces nouvelles attaques des camions de riz démontrent que le problème demeure toujours. Qu’il est encore aujourd’hui plus insupportable. En effet, dans les marchés populaires, le sac de riz se négocie à 1000.00 GNF, 110.000 GNF voire plus, pour une population sans travail de facto sans revenu, qui survit grâce aux maigres ressources de la débrouillardise.

"Comment voulez-vous qu’on tire sur une population affamée, misérable. Nous sommes tous dans la même merde", nous confie un soldat en service à la base aérienne qui a assisté à la scène. Pour un responsable politique guinéen : "En ce moment, le risque est trop grand pour tirer sur les populations. Cela pourrait conduire à une révolte populaire. La répression injustifiée d’une population affamée n’est plus la solution pour un pouvoir pratiquement dans la rue".

Le désintérêt des soldats, devant le spectacle de déchargement de leur ravitaillement n’est pas un geste anodin. Banal. C’est une autre facette de l’absence de soutien du régime dans les casernes et signifie que le Gouvernement de Conakry ne peut pas compter sur les troupes pour se maintenir indéfiniment au pouvoir. Les soldats eux-mêmes, exceptés les gros bonnets de l’armée qui baignent dans l’opulence, étant dans une misère aussi grave que celle du reste des populations du pays.

Enfin, rien n’indique que dans les jours à venir, d’autres attaques de convois de riz ne soient possibles, tant la souffrance, la dèche, bref la vie est devenue infernale pour le Guinéen, un calvaire quotidien insupportable. L’instinct de survie le commande.

         PAR MOUCTAR BOURWALL BAH

"Conakry : Des camions de ravitaillement de l’armée attaqués par les populations." |
15 avril 2006

Guinée News

Les dessous d’un limogeage Le Premier ministre Cellou Dalein Diallo a été démis de ses fonctions le 5 avril pour « faute grave », après quarante-huit heures de cafouillages au sommet de l’État. Nommé le 9 décembre 2004, Cellou Dalein Diallo laissera dans l’histoire de la Guinée l’image d’un Premier ministre qui fut toujours bridé, humilié, avant d’être limogé sans préavis. Et qui apprend, le 5 avril, sur les ondes de la radio nationale qu’il est démis de ses fonctions « pour faute lourde ». Tout commence vingt-quatre heures plus tôt quand, à la fin de son journal de 19 h 45, Radio-Guinée lit un décret qui remanie profondément le gouvernement. Taillée sur mesure, la nouvelle équipe reflète la volonté de Cellou Dalein Diallo. Lequel reste Premier ministre et récupère les portefeuilles de l’Économie, des Finances et du Plan. Tous ses proches sont également maintenus à leurs postes (Fatoumata Kaba Sidibé aux Affaires étrangères ; Ahmed Tidjane Souaré aux Mines et Géologie…) ou affectés à d’autres (Hadja Aïssatou Bella Diallo passe de l’Information aux Affaires sociales, Promotion féminine et Enfance ; Hadja Fatoumata Binta Diallo, de l’Hydraulique et Énergie à la Pêche et Aquaculture…). D’autres, des nouveaux, les rejoignent : le journaliste Tibou Kamara (au ministère de l’Information et de la Culture) ; Mamadou Banoh Sow (aux Travaux publics), Malick Sankon (Tourisme et Hôtellerie)... Tous ses adversaires sont en revanche limogés : le ministre des Postes et Télécommunications, Jean-Claude Sultan, qui lui a tenu tête en 2005 sur le dossier de la mise en vente de la quatrième licence de téléphonie cellulaire, et Kémo Charles Zogbélémou, patron du Contrôle économique, coupable, en décembre 2005, d’avoir rendu un rapport qui blanchit l’homme d’affaires Elhadji Mamadou Sylla, accusé d’avoir frauduleusement soustrait 36 millions d’euros des caisses de la Banque centrale. La nouvelle cuvée traduit la nette victoire du Premier ministre sur ses rivaux de l’entourage du chef de l’État ?coachés par le secrétaire général à la présidence, Fodé Bangoura. Et laisse les coudées franches à Cellou Dalein Diallo, dont relève désormais le récalcitrant grand argentier du pays, Madikaba Camara, devenu simple ministre délégué. Lansana Conté somnole dans sa voiture, lorsque son chauffeur le réveille dès la lecture de la première phrase du décret. Comme sonné par ce qu’il entend, le chef de l’État demande qu’on le mette immédiatement en contact téléphonique avec le Premier ministre ainsi qu’avec Fodé Bangoura. Les deux hommes sont convoqués illico presto au « Petit Palais », siège de la présidence. Pour les faire rappliquer immédiatement, Conté envoie à chacun un motard. Les voilà tous les trois à huis clos dans son bureau. Il est environ 20 h 30. Le chef de l’État s’en prend violemment à Cellou Dalein Diallo, lui reproche de l’avoir « trompé », et demande que le décret portant remaniement ministériel soit purement et simplement annulé. Il charge Fodé Bangoura de lui soumettre, dès le lendemain matin, un nouveau texte qui maintient le gouvernement sortant en place. Un peu plus tard dans la soirée, les amis et sympathisants se succèdent chez le Premier ministre, sur la corniche de Dixinn, pour le féliciter. Pendant ce temps, son voisin, Fodé Bangoura, s’affaire au téléphone, appelle tous les débarqués pour les informer qu’ils restent en fonction. Y compris ceux qui, comme la ministre du Commerce, Djéné Saran Camara, séjournent à l’étranger. Bangoura joint également Africable, la chaîne de télévision ouest-africaine basée à Bamako, demande à ses dirigeants de ne pas diffuser la partie du journal télévisé guinéen relative au remaniement ministériel. À 22 heures, il envoie des « Bérets rouges » (éléments de la garde rapprochée du chef de l’État) interrompre brutalement la lecture de la liste du nouveau gouvernement. Alors que la bande arrive au nom de Sékou Ping Pong Condé, le ministre de la Jeunesse et des Sports, elle est arrachée par les hommes en armes qui investissent les locaux de la Radiotélévision guinéenne (RTG). Dès l’aube du lendemain, 5 avril, Bangoura rédige le décret d’annulation. Mais se heurte à un léger problème : Conté se tire difficilement du lit le matin, et nul ne peut le déranger. D’autres proches du chef de l’État entrent en jeu. L’homme d’affaires Elhadji Mamadou Sylla, le marabout Elhadji Ibrahima Diaby, la « madame Communication » Chantal Colle, des ministres limogés comme Jean-Claude Sultan… se rencontrent dès 8 heures chez Hadja Kadiatou Seth Conté, à la Cité ministérielle, où a dormi le président. Ils le tirent du lit, l’emmènent au « Petit Palais » vers 9 heures. Une heure plus tard, c’est Fodé Bangoura lui-même qui se rend à la RTG, remet en main propre au directeur de la radio le nouveau décret rétablissant l’ancien gouvernement. Il est rendu public aux environs de 10 h 30. Le Premier ministre quitte aussitôt la primature, se rend précipitamment au « Petit Palais » situé à cinq minutes de marche, mais ne réussit pas à voir le chef de l’État. Il est bloqué à la porte par les « Bérets rouges », instruits par Fodé Bangoura de ne pas le laisser entrer. Conté est complètement isolé et « cuisiné » par les adversaires de Cellou Dalein Diallo, rejoints par Aboubacar Somparé, président de l’Assemblée nationale et ennemi déclaré du Premier ministre. Ils tiennent conclave. À 13 h 10, la radio lit un deuxième décret qui limoge Diallo « pour faute lourde ». Ce n’est pas tout : les « anti-Cellou » de l’entourage présidentiel font signer en début de soirée un autre décret qui débarque le directeur du Port autonome de Conakry, Almamy Kabélé Camara. Motif ? Il est proche du désormais ex-Premier ministre au point de s’être taillé la part belle dans le gouvernement mort-né : le poste de ministre de l’Administration du territoire, de la Décentralisation et de la Sécurité. À 22 heures, un Conseil interministériel extraordinaire se réunit à la présidence jusque très tard dans la nuit. Sous la présidence de Fodé Bangoura, les membres du gouvernement planchent sur la suite à donner à la « faute lourde » de Cellou Dalein Diallo. Va-t-il être poursuivi pour « falsification de documents administratifs, recel, faux et usage de faux » ? Après deux journées de guérilla au sommet, un constat s’impose : il est difficile de faire mieux dans la pagaille institutionnelle que Conté et son entourage. Ou pour ridiculiser ce qui reste de l’État guinéen. Le chef de l’État, qui a bel et bien signé le décret du 4 avril, brandit à ses proches un argument : il n’aurait demandé à Cellou Dalein Diallo que de remplacer les cinq ministres qui ont accédé à l’âge de la retraite à la date du 1er janvier 2006. Peut-il se dédouaner aussi simplement ? A-t-il apposé sa signature sur le décret sans l’avoir lu ? En réalité, diminué par une maladie qui l’a contraint à un séjour médical en Suisse (du 18 au 24 mars), Conté n’est plus dans les dispositions de gouverner son pays. En proie à de récurrents comas diabétiques responsables de troubles répétés de la mémoire, ce dernier connaît de longs moments de faiblesse qui le coupent totalement de la réalité. Jusqu’à quand ses proches prolongeront-ils artificiellement sa vie politique ? Quand s’arrêtera la situation de non-État qui ridiculise la Guinée chaque jour davantage et l’enfonce dans la misère ? Questions sans intérêt pour les proches de Fodé Bangoura, jadis aux prises avec le camp de Cellou Dalein Diallo, qui savourent aujourd’hui leur victoire. Le limogeage du Premier ministre renforce le secrétaire général à la présidence, désormais détenteur de la réalité du pouvoir. Ce qui n’est pas sans importance dans la course à la succession engagée depuis plusieurs mois. PAR MOUCTAR BOURWALL Bah
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30 mars 2006

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